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Début des cours de dégustation le lundi 29 septembre 2008 à 20h15.


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4 juin 2008

Le Carnet de vigne de Sylvie Augereau

Voici pour vous ma lecture coup de cœur du moment : "Le carnet de vigne de Sylvie Augereau"

Dans ce livre, les vignerons qui ne trichent pas sont mis en avant de manière rapide et accessible.

Région par région un tour d'horizon des valeurs sures et des jeunes talents que j'ai le plaisir de vous proposer chaque jour Aux Cépages d'Ermont.

En le lisant, vous ne boirez plus comme avant !

Bonne idée cadeau pour se faire plaisir ou pour la fête des pères.

Ci dessous quelques extraits ... Cliquez sur l'image pour l'agrandir.

6 janv. 2008

Que lire cet hiver ?

En cette période triste post-fètes de fin d'année, voila un éditeur qui nous parle des vins comme je les aime.
Plus que des livres de recettes ou des romans, ils présentent la vie des quelques vignerons qui ont permis de faire avancer la connaissance des vins.
Tel que Jules Chauvet http://www.jprocher-editeur.com/pages/chauvet.htm,ou Robert Plageoles http://www.jprocher-editeur.com/pages/plageoles-saga.htm.
Bonnes lectures à vous et merci de venir si souvent sur mon Blog (2100 visites)

7 nov. 2007

Le journal de François

Ca fait toujours plaisir quand on parle de vous.

Ce mois-ci dans le "journal de François", un article en double page centrale sur votre caviste.

Cliquez sur une des pages de l'article pour l'agrandir.

3 juin 2007

Vignerons Rebelles

Du nouveau à la cave, la derniere verson du livre "Vignerons rebelles" par mon ami Jean claude Ray. Ce livre présente au lecteur ce qui se passe avant que le vin n'arrive dans son verre : nature du terroir, travail de la terre, vinification, élevage... Pas de commentaires de dégustation donc, même si l'appréciation de certaines cuvées coule de source et de la plume de l'auteur. Un carnet "d'adresses précieuses" clôt d'ailleurs l'ouvrage.

Mot de l'éditeur :

La filière viticole subit une crise économique sans précédent à laquelle les institutions répondent par des mesures qui ne font que l'aggraver. Pour en sortir, ne devrait-on pas commencer par enseigner à nos futurs vignerons une autre viticulture, une viticulture où le terroir ne serait pas banni, mais au contraire mis en avant comme un véritable atout ?

Aujourd'hui, des femmes et des hommes de nos vignobles prônent cette idée simple et évidente : mettre en avant l'authenticité, la typicité des terroirs. Ces objectifs ne sont accessibles qu'en restituant une vie organique saine dans des sols souvent anéantis par la chimie, grâce à un travail méticuleux et respectueux de l'environnement.

Vignerons rebelles est la chronique d'une soixantaine d'entretiens auprès de ces professionnels scrupuleux, aux techniques parfois non reconnues par l'agronomie moderne et bien pensante, mais dont les nectars nous procurent, par leur authenticité, davantage que du plaisir : de l'émotion !

Cette nouvelle édition, notablement augmentée, approfondit l'enquête menée auprès de ces vignerons qui refusent, malgré la crise viticole, la négation de leur terroir, respectent leur environnement au-delà des effets de mode et cultivent leurs sols sans les polluer ni les détruire. Ils réunissent ainsi les critères écologiques, économiques et sociaux d'un authentique développement durable.

L'auteur, amateur de bons produits, écologue et consultant en écologie territoriale, persiste dans sa défense d'une viticulture, et même d'une agriculture différente de celle qui nous est imposée par nos énarques ou nos pseudo-experts européens.

Extrait - la définition du "Terroir"

" Il s'agit en fait d'une notion physique simple : la possibilité qu'ont les racines des plantes d'atteindre une couche minérale plus ou moins profonde baptisée roche mère par les pédologues. C'est dans cette roche mère que la plante puise sa spécificité, et le terroir des vins est l'addition de cette dernière avec le climat local. Ceci à condition bien sûr que les diverses couches de sols, baptisées "horizons" et situées entre la litière de matière organique superficielle et cette roche minérale, soient en bon état, c'est-à-dire en condition d'être le lieu d'une vie intense constituée de micro-organismes, champignons, vers de terre et autres animaux capables d'opérer la fusion entre la partie organique supérieure du sol et sa partie minérale inférieure."